Ce n’est pas vraiment une nouvelle qui va révolutionner le monde.
Mais c’est une nouvelle quand même.
Cet après-midi, j’ai terminé mon nouveau roman.
Le prologue ressemble à ceci :
J’ai rencontré ma tante en novembre 2001, le jour de l’enterrement de sa sœur. L’enterrement de ma mère, pour le dire autrement. Je savais qu’elle s’appelait Alice mais je ne la connaissais pas. Je connaissais encore moins l’histoire extravagante et fascinante de sa vie et de ses maris.
Je ne lui ai pas demandé d’ouvrir la malle de ses souvenirs et de ses secrets mais elle l’a fait quand même.
Et elle m’a suggéré d’en faire quelque chose. De les écrire. J’ai hésité, puis j’ai dit oui.
Si c’était à refaire, je le referais. Sans l’ombre d’un doute et le cœur léger.
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