Depuis un certain temps, chaque fois que j’essaie d’écrire quelque chose ici, les circonstances m’empêchent d’aller au-delà de deux ou trois lignes. Pourtant, je les aime bien, mes carnets, je m’étais habitué à y faire une pause. Mais le monde est fort agité. Le mien aussi. Les soucis semblent se regrouper pour former des avalanches. M’est revenu à l’esprit ce matin le titre, magnifique, d’un recueil de poèmes de Charles Bukowski : « The Days Run Away Like Wild Horses Over the Hills ».
Commentaires récents