S’il est une race qui déshonore aujourd’hui l’espèce humaine, c’est celle des banquiers. Ils ont réussi à supplanter celle des hommes politiques, qui compte encore, ici et là, de trop rares mais d’autant plus précieux spécimens méritant respect et admiration.
On peut dire mille horreurs des hommes d’argent. Mais il est difficile de parler d’eux plus justement que George Bernard Shaw, qui avait écrit ceci : « Un banquier, c’est quelqu’un qui vous prête un parapluie quand il fait beau et vous le reprend quand il pleut. »
On pourrait plutôt dire ça d’un assureur, non ?
(je dis pas ça pour défendre mes anciens collègues, hein
)